1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
1 ’est pas sans gêner M. Seillière. C’est peut-être pourquoi il insiste sur le fait que Vinet se déclarait « un chrétien sans épit
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 foncière, une foi en la valeur de l’action. C’est pourquoi ils ne peuvent prétendre à l’action sociale que l’époque réclame 1. C
3 ction sociale que l’époque réclame 1. C’est aussi pourquoi l’on ne saurait accorder trop d’importance à leurs tentatives morales
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 lui rendent bien dans la suite ; c’est peut-être pourquoi nous accordons voix dans le débat d’écrire, aux forces les plus secrè
5 n. Un système n’est pas vrai, il est utile. C’est pourquoi je ne puis comprendre les excommunications et les intransigeances. To
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
6 soleil lointain va tourner en cruelle mélancolie. Pourquoi , Henri de Closain, quitter le domaine enchanté où des amis très fins,
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
7 s’oppose en premier lieu à la spontanéité. C’est pourquoi Gide écrit ailleurs : « En chaque être, le pire instinct me paraissai
8 n élan, se dépasser ; c’est créer une différence. Pourquoi les romanciers modernes ont-ils tant de mal à créer des personnages ?
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
9 , l’image que je m’en forme… Je ne comprends plus pourquoi je devrais me tuer, pourquoi je souffre, ce que c’est que la souffran
10 Je ne comprends plus pourquoi je devrais me tuer, pourquoi je souffre, ce que c’est que la souffrance, ce que c’est que ma vie,
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
11 dus pour qui l’esprit est la seule réalité. C’est pourquoi nous ne pourrons plus séparer du concept de l’esprit celui de Révolut
12 ment, incontestablement beau. Mais alors, Aragon, pourquoi se faire marchand des œuvres complètes de Karl Marx ? Si vous ne dite
13 urs évidente, de laquelle il se demande vainement pourquoi il n’arrive pas à se contenter13 ». Acculés à ce choix : inconscience
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
14 e qu’une épure : c’est intitulé « nature morte ». Pourquoi pas naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve de précision qui s’
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
15 érard songeait, muet, et n’en buvait pas moins. «  Pourquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproche, évidemment scan
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
16 onne. Pour les autres, divertissant et spirituel. Pourquoi ne veut-on voir en Jules Verne qu’un précurseur ? Jules Verne est un
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
17 eunes qui ait vraiment donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai lu ce livre, malgré son premier chapitre, variation sur un mot b
12 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
18 ies, mais aussi bien par celle des miroirs. C’est pourquoi il en installe un sur sa table de travail, de façon à pouvoir s’y sur
19 e regard, il se cherche dans d’autres yeux, c’est pourquoi il fait peur à certaines femmes. Un soir, après quelques alcools et
13 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
20 araît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
21 , si l’on veut, la question d’Orient-Occident. Et pourquoi cette hostilité de sectaire contre l’interprétation proposée par Clau
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
22 tinction classique du fait et du droit ; et c’est pourquoi je considérerai d’abord l’instruction publique dans ses réalisations
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
23 te et faux dans un très grand nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dire ? L’instituteur sous l’uniforme peut être défi
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
24 ens de sauver l’enfant dans sa famille). Ensuite, pourquoi fait-on en réalité, comme si toutes les familles constituaient un mil
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
25 l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La réponse
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
26 ttaque à tout ce qui entrave cet avènement. C’est pourquoi je réclame l’expulsion de la congrégation radicale des instituteurs.
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
27 parce qu’elle le contient en puissance. Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien public. Certains pr
28 ur redonner quelque saveur à ses jugements. C’est pourquoi l’on ne peut plus attaquer un fonctionnaire dans son activité publiqu
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
29 tinction classique du fait et du droit ; et c’est pourquoi je considérerai d’abord l’instruction publique dans ses réalisations
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
30 te et faux dans un très grand nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dire ? L’instituteur sous l’uniforme peut être défi
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
31 ns de sauver un enfant dans sa famille). Ensuite, pourquoi fait-on en réalité, comme si toutes les familles constituaient un mil
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
32 l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La réponse
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
33 ttaque à tout ce qui entrave cet avènement. C’est pourquoi je réclame l’expulsion de la congrégation radicale des instituteurs.
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
34 parce qu’elle le contient en puissance. Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien public. Certains pr
35 ur redonner quelque saveur à ses jugements. C’est pourquoi l’on ne peut plus attaquer un fonctionnaire dans ses activités publiq
27 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
36 t ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il faut faire la révolution morale. Voilà notre aphorisme démontré.
28 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
37 un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi  ? Regardez : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office,
38 l et ironique feint de lâcher pour mieux croquer. Pourquoi ne pas se perdre sans arrière-pensée ? S’il me reste un espoir au sei
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
39 bien ici que le critique a dominé son sujet. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remarques fort justes les conclusions q
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
40 de voyager n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, j
31 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
41 mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec, aux jambes, l’imperceptible ango
42 le. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’œil est implacable… Pas de clefs dans mes onze poches. Seulement ce
43 que que les choses les plus évidentes. C’est bien pourquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas u
32 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
44 ience appartient au critique avant tout, et c’est pourquoi il fait de la critique en présence des obstacles qu’il rencontre, là
33 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
45 s philosophies, officiellement, l’ont renié. Mais pourquoi tant et toujours plus de mal à prouver la liberté humaine ? C’est que
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
46 ommes qui viendront y trouver leur liberté. Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à ces cris d’une révolte égarée par la haine ? C
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
47 . Suicide et Osaka la nuit ! Il ne comprenait pas pourquoi ces deux mots lui semblaient avoir des rapports intimes et atroces. Q
48 ocureur et le prévenu, qui vaut d’être citée : — Pourquoi me regardez-vous ainsi ? tonna le Procureur, qui cherchait à intimide
49 de la sympathie. — Qu’est-ce que cela veut dire ? Pourquoi me regardez-vous aussi insolemment ? Le Procureur continuait à enrage
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
50 que l’ère n’est plus de certaines complaisances ? Pourquoi faut-il que l’image de cet aviateur m’évoque la fable : « Je suis ois
37 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
51 t naïve où gît leur profonde raison d’être. C’est pourquoi les meilleurs contes du volume sont ceux dont la lenteur nous retient
38 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
52 ent de Ramuz (sur le Travail), qui débute ainsi «  Pourquoi est-ce qu’on travaille ? parce qu’on y est forcé. Pourquoi y est-on f
53 est-ce qu’on travaille ? parce qu’on y est forcé. Pourquoi y est-on forcé ? » Je vois que cet article en vient à formuler le dil
54 pect usuel de la chose pour toute la chose. C’est pourquoi il s’attarde à décrire le concret d’une façon concrète : ainsi, le ma
55 œuvre, comme le mystique dans sa prière. Et c’est pourquoi le poète, Ramuz, l’homme qui vit concrètement les grands mythes et le
39 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
56 qu’on a, mais seulement avec ce qu’on est. C’est pourquoi il n’y a de création possible que par les individus. Et de là vient q
40 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
57 mieux que la retenue même de l’expression. C’est pourquoi je l’éprouve plus vivement dans certains passages des Affinités élect
58 soit apte à s’agréger ce qui est supérieur. C’est pourquoi l’on fait bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-là pour s
41 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
59 , par rapport à notre pensée naturelle. Dès lors, pourquoi faire intervenir dans notre vie une recherche qui risque surtout d’êt
42 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
60 eux, s’il faut faire quelque chose, et comment et pourquoi . Ce que nous devons faire est toujours assez simple, est toujours évi
43 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
61 32)b Nous avons interrogé M. Durand-Dupont. — Pourquoi n’êtes-vous pas révolutionnaire ? M. Durand-Dupont ne s’est pas fait
62 a été jeune, lui aussi. Du moins il l’affirme. — Pourquoi je ne suis pas révolutionnaire ? nous a-t-il déclaré — Parce que je s
63 mme impliquant une contradiction dans les termes. Pourquoi prétendez-vous « défendre » un idéal libéral pour lequel vous refuser
44 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
64 le désir d’être entendu du grand public, et c’est pourquoi l’on ne voudrait pas reprocher à M. Duhamel d’avoir adopté pour cette
65 le, par ailleurs, M. Duhamel semble fort attaché. Pourquoi récriminer sur quelques aspects superficiels d’une civilisation dont
45 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
66 ons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pourquoi la supporterons-nous ? La révolution, ce n’est plus un état d’esprit,
46 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
67 peut-être les mots-clés de l’Europe sentimentale. Pourquoi faut-il que notre langue les traduise, en vertu d’une convention qu’i
47 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
68 érard songeait, muet, et n’en buvait pas moins. «  Pourquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproche, évidemment scan
48 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
69 ose à l’imagination de bien étranges spectacles ; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon, entre deux
49 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
70 de voyager n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, j
71 mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux jambes l’imperceptible angois
72 le. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’œil est implacable… Pas de clefs dans mes onze poches. Seulement ce
73 que que les choses les plus évidentes. C’est bien pourquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas u
50 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
74 araît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur
51 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
75 28 avril 1929 Ils ont de la peine à comprendre pourquoi je suis venu vivre dans ce bourg, chez eux justement… Comment leur co
76 enu de certitude et de tendre lucidité, — je sais pourquoi je puis rester dans cette Souabe à ne rien faire : c’est que depuis q
77 ait une ascèse inhumaine et sans but divin. C’est pourquoi l’usage d’une sensualité consciente redevient une conquête de la sage
78 e fleur qui resplendissait comme une étoile. Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain
52 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
79 qu’on parle des temps nouveaux. Et l’on voit bien pourquoi les intellectuels, les ouvriers, les exploités ont besoin de tels myt
53 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
80 un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi  ? Regardez : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office,
81 l et ironique feint de lâcher pour mieux croquer. Pourquoi ne pas se perdre sans arrière-pensée ? S’il me reste un espoir au sei
54 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
82 t frémir de rage ; ils aiment s’obstiner et c’est pourquoi nous aimons leur échapper. Vous êtes bien injuste avec moi quand vous
83 e. Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vous paraissent simples, évidents et indifférents. C’est pou
84 raissent simples, évidents et indifférents. C’est pourquoi vous admettez que « beau » temps est le contraire de « mauvais » temp
85 temps, ni si les tempêtes sont « belles ». C’est pourquoi vous pensez encore que le bonheur peut exister en dehors de la souffr
86 me qu’il est le contraire de la souffrance. C’est pourquoi vos rêves composent toujours le même paysage de carte postale en coul
55 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
87 peut-être les mots-clés de l’Europe sentimentale. Pourquoi faut-il que notre langue les traduise, en vertu d’une convention qu’i
56 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
88 ose à l’imagination de bien étranges spectacles ; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon, entre deux
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
89 de voyager n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, j
90 mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux jambes l’imperceptible angois
91 le. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’œil est implacable… Pas de clefs dans mes onze poches. Seulement ce
92 que que les choses les plus évidentes. C’est bien pourquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas u
58 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
93 qu’on parle des temps nouveaux. Et l’on voit bien pourquoi les intellectuels, les ouvriers, les exploités ont besoin de tels myt
59 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
94 araît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur
60 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
95 28 avril 1929 Ils ont de la peine à comprendre pourquoi je suis venu vivre dans ce bourg, chez eux justement… Comment leur co
96 enu de certitude et de tendre lucidité, — je sais pourquoi je puis rester dans cette Souabe à ne rien faire : c’est que depuis q
97 ait une ascèse inhumaine et sans but divin. C’est pourquoi l’usage d’une sensualité consciente redevient une conquête de la sage
98 fleur qui resplendissait comme une étoile. » Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
99 mon enfance. (On ne l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers les lieux et les choses que toujours et partout
100 lus permis. J’aime l’Amérique. Ils me demanderont pourquoi , je ne saurai pas répondre. Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être
101 urquoi, je ne saurai pas répondre. Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être ? Voici longtemps qu’on a cessé de penser qu’il est
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
102 précédent que moi. Mais la volonté n’y peut rien. Pourquoi maintenant, à cet instant précis, et non pas hier ni même une seule s
63 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
103 . Voilà un privilège qui ne peut gêner personne ! Pourquoi ceux qui vivent pour l’avenir et dans les voies de l’ambition jalouse
64 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
104 e douceur ? Cherchant d’où vient cet agrément, et pourquoi dans le monde lacustre on ressent la vie mieux qu’ailleurs, plus savo
105 ohicans de mon enfance. Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-je quitté ? …Et nous n’irons jamais au lac d’Amatitlán, au pied
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
106 et cette vanité collective s’appelle, on ne sait pourquoi , patriotisme ; mais que si l’on parle de soi, on confesse uniquement
66 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
107 s avoir indiqué nettement, à la fin de l’enquête, pourquoi cette solidarité nous paraissait encore plus indésirable qu’impossibl
67 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
108 e transcender, de révolutionner ses formes. C’est pourquoi nous voyons aujourd’hui à l’avant-garde du mouvement révolutionnaire,
68 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
109 pture est l’origine même du christianisme ; c’est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chré
110 idariser la « chrétienté » du désordre établi. Et pourquoi  ? Parce que c’est tout à fait impossible, parce que la « chrétienté »
111 amne ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est pourquoi il y a un imposteur dans tout homme qui se dit chrétien. (Je ne dis p
112 d’un point de vue antichrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, d
113 toi… Tu ne crois pas, dis-tu à ces docteurs, mais pourquoi les crois-tu soudain, quand ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand,
69 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
114 nuit, ne connaissant, de par notre nature, ni le pourquoi , ni le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la clef de l’Origine e
70 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
115 lus insolubles, par exemple : il ne sait même pas pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien
71 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
116 ssibilités toujours plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle est condamnée à une espèce de dégradation, dans la mesure même o
72 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
117 souffre d’une carence aiguë de la jeunesse. C’est pourquoi le problème de son destin se confond avec le problème de notre généra
73 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
118 tre Hitler de toute la Reichswehr et des Schupos. Pourquoi n’en use-t-il pas ? Il paraît maître absolu du pays, mais la violence
74 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)
119 Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)c « Toujours à gauche, mais pa
120 s guichets, aux sons du Horst-Wessel-Lied. c. «  Pourquoi ils sont socialistes », L’Ordre nouveau, Paris, n° 3, juillet 1933, p
75 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
121 pas dans je ne sais quelle « réaction ». Et c’est pourquoi nous ne pouvons pas accepter un instant le rapprochement qu’on nous i
122 us aide en toute loyauté à les affirmer (p. 16). Pourquoi ai-je envie, dans une telle phrase, de remplacer « libre recherche »
76 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
123 ns la durée psychologique et descriptible ; c’est pourquoi des généralités abstraites telles que morale ou socialisme 10, entité
77 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
124 catastrophique. Persistons en dépit du bon sens. Pourquoi ne pas glisser, entre l’auteur d’Adolphe et celui des Discours religi
125 rz qui n’a pas de nom dans notre langue, et c’est pourquoi sans doute elle ne s’y manifeste que par ces « ratés » émouvants, don
78 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
126 ormulées que dans le système parlementaire. C’est pourquoi nous considérons le communisme comme l’agent le plus perfectionné de
127 sme est défini par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle
79 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
128 bout, les conséquences de ce qu’il écrit ». Voilà pourquoi , parti de recherches d’ordre poétique sur la métaphore chez Proust, B
80 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
129 s », affirment-ils. Voire ! Les intérêts de qui ? Pourquoi  ? Et comment garantis ? C’est un paradoxe curieux que devoir en 1934,
81 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
130 pair avec la propagande de l’opportunisme. C’est pourquoi , sans vouloir en rien sous-estimer l’analyse qu’Aron et Dandieu nous
131 ueur le vice fondamental, d’essence rationaliste. Pourquoi les révolutions aboutissent-elles à des dictatures, c’est-à-dire à la
82 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
132 et tout épuiser, le chrétien se rit du bilan ! » Pourquoi ce rire scandaleux ? Parce que « la crainte infinie d’un seul danger
133 ent le contraire : il veut l’originalité. « Voilà pourquoi la Parole de Dieu est telle qu’on y trouve quelque passage qui dise l
134 ne se trouvent bien que dans l’imitation : c’est pourquoi ils se sentent unis en elle d’une manière si touchante, et c’est ce q
135 risé dans les choses afin d’y exaucer (comment et pourquoi  ?) nos désirs. Cette sorte de providence brute tout à fait inintellig
136 du paradis, p. 269. C’est moi qui souligne. 62. Pourquoi poser la question à propos d’un cas aussi exceptionnel que le martyre
83 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
137 cette mesure est peut-être assez faible. Et c’est pourquoi nous avons tant de peine à définir et nommer clairement les maux dont
138 Elle n’est occupée qu’à « bien » dire, — et c’est pourquoi elle parle mal. Or ceux qui l’ont attaquée jusqu’ici n’ont rien fait
84 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
139 ces trois manifestations d’inquiétude. C’est bien pourquoi nous en parlons. 1. Les discours des « Néos »12 Inutile de rapp
140 l’homme entre en contact avec les réalités. C’est pourquoi une expérience de travail manuel devra être instituée… pour tous les
85 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
141 r par l’esprit. Vous qui êtes Français, dites-moi pourquoi , dans tout votre trésor littéraire, vous n’avez pas de livres remèdes
142 r littéraire, vous n’avez pas de livres remèdes ? Pourquoi vous ne pensez jamais aux désespérés ? Tous vos livres disent non à l
143 négatif. Et je n’avais pas besoin qu’on m’y aide. Pourquoi n’avez-vous jamais eu le courage, vous Français — ou la bonté — ou la
144 ent. Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais surtout et d
86 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
145 u’il souffre et qu’il jubile, — qu’il agit. C’est pourquoi ils se trompent du tout, ceux qui considèrent l’homme, dans leurs cal
146 e sera jamais un objet de l’entendement. Et c’est pourquoi rien ne peut l’expliquer. Mais qu’il paraisse, aussitôt les objets s’
147 t sortir sans quitter, du même pas, la vie. C’est pourquoi le drame est sérieux ; et notre vie n’est pas une farce, pour la simp
148 efuser de jouer. Mais cela dit, il reste à savoir pourquoi tel figurant jeté dans une intrigue insaisissable devient tout à coup
149 comme n’étant pas assujetti à notre action. C’est pourquoi la plupart de nos gestes, loin d’être ordonnateurs et créateurs, sont
87 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
150 nt de mal (Introduction aux contes d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieux problème avec des airs de conspirateur traqué ?
88 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
151 1. Je ne suis pas pacifiste par doctrine. Mais pourquoi dire que la guerre est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessair
89 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
152 e alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pourquoi désespérante ? Parce que seul l’absolu console, mais que jamais aucun
153 l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi , seul, il peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs problèmes
90 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
154 ’apparaît essentiellement contre-révolutionnaire. Pourquoi  ? Parce qu’il fait abstraction du facteur homme, de la personne, de l
91 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
155 a nation, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi en face des idoles, il n’y a plus que deux attitudes : les adorer ou
92 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
156 nt radical qu’il espère maintenant et qu’il agit. Pourquoi  ? Parce qu’il connaît un autre bien. La vision de cet autre bien lui
157 est derrière lui. Le problème a été résolu, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec résolution même des choses les p
93 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
158 pture est l’origine même du christianisme ; c’est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chré
159 idariser la « chrétienté » du désordre établi. Et pourquoi  ? Parce que c’est tout à fait impossible, parce que la « chrétienté »
160 amne ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est pourquoi il y a un imposteur dans tout homme qui se dit chrétien. (On ne peut
161 que d’un point de vue chrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, d
162 toi… Tu ne crois pas, dis-tu à ces docteurs, mais pourquoi les crois-tu soudain, quand ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand,
94 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
163 lus insolubles, par exemple : il ne sait même pas pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien
95 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
164 ormulées que dans le système parlementaire. C’est pourquoi nous considérons le communisme comme l’agent le plus perfectionné de
165 sme est défini par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle
96 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
166 eurs doctrines sont passées dans les mœurs, c’est pourquoi vous pensez qu’elles n’étaient pas « philosophiques » au même titre q
167 as qu’on vous demande « à quoi ». C’est peut-être pourquoi vous ratez ? Faire quelque chose, pratiquement ! Quand on se me
168 me, et que l’on considère comme une tricherie. Et pourquoi le chrétien a-t-il ce droit ? Parce qu’il est plus actif que les autr
97 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
169 nt contre Hitler de la Reichswehr et des Schupos. Pourquoi n’en ont-ils pas usé ? C’est que la « bonne conscience » du régime pa
98 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
170 ssibilités toujours plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle est condamnée à une espèce de dégradation, dans la mesure même o
99 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
171 air avec la propagande de l’opportunisme. » C’est pourquoi , sans vouloir en rien sous-estimer l’analyse qu’Aron et Dandieu nous
172 ueur le vice fondamental, d’essence rationaliste. Pourquoi les révolutions de 1789 et de 1917 aboutissent-elles à des dictatures
100 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
173 ent chrétienne. Et cette défaillance expliquerait pourquoi Kierkegaard ne devint pas lui-même le « témoin de la vérité » qu’il a
174 e. Le tout de l’homme est négation de Dieu. C’est pourquoi l’homme n’arrive à Dieu et à la Vie qu’en mourant totalement à soi-mê