1
’est pas sans gêner M. Seillière. C’est peut-être
pourquoi
il insiste sur le fait que Vinet se déclarait « un chrétien sans épit
2
foncière, une foi en la valeur de l’action. C’est
pourquoi
ils ne peuvent prétendre à l’action sociale que l’époque réclame 1. C
3
ction sociale que l’époque réclame 1. C’est aussi
pourquoi
l’on ne saurait accorder trop d’importance à leurs tentatives morales
4
lui rendent bien dans la suite ; c’est peut-être
pourquoi
nous accordons voix dans le débat d’écrire, aux forces les plus secrè
5
n. Un système n’est pas vrai, il est utile. C’est
pourquoi
je ne puis comprendre les excommunications et les intransigeances. To
6
soleil lointain va tourner en cruelle mélancolie.
Pourquoi
, Henri de Closain, quitter le domaine enchanté où des amis très fins,
7
s’oppose en premier lieu à la spontanéité. C’est
pourquoi
Gide écrit ailleurs : « En chaque être, le pire instinct me paraissai
8
n élan, se dépasser ; c’est créer une différence.
Pourquoi
les romanciers modernes ont-ils tant de mal à créer des personnages ?
9
, l’image que je m’en forme… Je ne comprends plus
pourquoi
je devrais me tuer, pourquoi je souffre, ce que c’est que la souffran
10
Je ne comprends plus pourquoi je devrais me tuer,
pourquoi
je souffre, ce que c’est que la souffrance, ce que c’est que ma vie,
11
dus pour qui l’esprit est la seule réalité. C’est
pourquoi
nous ne pourrons plus séparer du concept de l’esprit celui de Révolut
12
ment, incontestablement beau. Mais alors, Aragon,
pourquoi
se faire marchand des œuvres complètes de Karl Marx ? Si vous ne dite
13
urs évidente, de laquelle il se demande vainement
pourquoi
il n’arrive pas à se contenter13 ». Acculés à ce choix : inconscience
14
e qu’une épure : c’est intitulé « nature morte ».
Pourquoi
pas naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve de précision qui s’
15
érard songeait, muet, et n’en buvait pas moins. «
Pourquoi
vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproche, évidemment scan
16
onne. Pour les autres, divertissant et spirituel.
Pourquoi
ne veut-on voir en Jules Verne qu’un précurseur ? Jules Verne est un
17
eunes qui ait vraiment donné quelque chose. C’est
pourquoi
j’ai lu ce livre, malgré son premier chapitre, variation sur un mot b
18
ies, mais aussi bien par celle des miroirs. C’est
pourquoi
il en installe un sur sa table de travail, de façon à pouvoir s’y sur
19
e regard, il se cherche dans d’autres yeux, c’est
pourquoi
il fait peur à certaines femmes. Un soir, après quelques alcools et
20
araît ici bien établie, triomphante, à beau fixe.
Pourquoi
troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur
21
, si l’on veut, la question d’Orient-Occident. Et
pourquoi
cette hostilité de sectaire contre l’interprétation proposée par Clau
22
tinction classique du fait et du droit ; et c’est
pourquoi
je considérerai d’abord l’instruction publique dans ses réalisations
23
te et faux dans un très grand nombre de cas, mais
pourquoi
ai-je envie de le dire ? L’instituteur sous l’uniforme peut être défi
24
ens de sauver l’enfant dans sa famille). Ensuite,
pourquoi
fait-on en réalité, comme si toutes les familles constituaient un mil
25
l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique
pourquoi
il triomphe et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La réponse
26
ttaque à tout ce qui entrave cet avènement. C’est
pourquoi
je réclame l’expulsion de la congrégation radicale des instituteurs.
27
parce qu’elle le contient en puissance. Et c’est
pourquoi
l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien public. Certains pr
28
ur redonner quelque saveur à ses jugements. C’est
pourquoi
l’on ne peut plus attaquer un fonctionnaire dans son activité publiqu
29
tinction classique du fait et du droit ; et c’est
pourquoi
je considérerai d’abord l’instruction publique dans ses réalisations
30
te et faux dans un très grand nombre de cas, mais
pourquoi
ai-je envie de le dire ? L’instituteur sous l’uniforme peut être défi
31
ns de sauver un enfant dans sa famille). Ensuite,
pourquoi
fait-on en réalité, comme si toutes les familles constituaient un mil
32
l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique
pourquoi
il triomphe et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La réponse
33
ttaque à tout ce qui entrave cet avènement. C’est
pourquoi
je réclame l’expulsion de la congrégation radicale des instituteurs.
34
parce qu’elle le contient en puissance. Et c’est
pourquoi
l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien public. Certains pr
35
ur redonner quelque saveur à ses jugements. C’est
pourquoi
l’on ne peut plus attaquer un fonctionnaire dans ses activités publiq
36
t ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera
pourquoi
il faut faire la révolution morale. Voilà notre aphorisme démontré.
37
un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et
pourquoi
? Regardez : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office,
38
l et ironique feint de lâcher pour mieux croquer.
Pourquoi
ne pas se perdre sans arrière-pensée ? S’il me reste un espoir au sei
39
bien ici que le critique a dominé son sujet. Mais
pourquoi
se refuse-t-il à tirer de ces remarques fort justes les conclusions q
40
de voyager n’est rien auprès de celui d’expliquer
pourquoi
l’on est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, j
41
mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est
pourquoi
je nageais à brasses prudentes avec, aux jambes, l’imperceptible ango
42
le. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est
pourquoi
l’œil est implacable… Pas de clefs dans mes onze poches. Seulement ce
43
que que les choses les plus évidentes. C’est bien
pourquoi
l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas u
44
ience appartient au critique avant tout, et c’est
pourquoi
il fait de la critique en présence des obstacles qu’il rencontre, là
45
s philosophies, officiellement, l’ont renié. Mais
pourquoi
tant et toujours plus de mal à prouver la liberté humaine ? C’est que
46
ommes qui viendront y trouver leur liberté. Mais
pourquoi
dira-t-on, s’arrêter à ces cris d’une révolte égarée par la haine ? C
47
. Suicide et Osaka la nuit ! Il ne comprenait pas
pourquoi
ces deux mots lui semblaient avoir des rapports intimes et atroces. Q
48
ocureur et le prévenu, qui vaut d’être citée : —
Pourquoi
me regardez-vous ainsi ? tonna le Procureur, qui cherchait à intimide
49
de la sympathie. — Qu’est-ce que cela veut dire ?
Pourquoi
me regardez-vous aussi insolemment ? Le Procureur continuait à enrage
50
que l’ère n’est plus de certaines complaisances ?
Pourquoi
faut-il que l’image de cet aviateur m’évoque la fable : « Je suis ois
51
t naïve où gît leur profonde raison d’être. C’est
pourquoi
les meilleurs contes du volume sont ceux dont la lenteur nous retient
52
ent de Ramuz (sur le Travail), qui débute ainsi «
Pourquoi
est-ce qu’on travaille ? parce qu’on y est forcé. Pourquoi y est-on f
53
est-ce qu’on travaille ? parce qu’on y est forcé.
Pourquoi
y est-on forcé ? » Je vois que cet article en vient à formuler le dil
54
pect usuel de la chose pour toute la chose. C’est
pourquoi
il s’attarde à décrire le concret d’une façon concrète : ainsi, le ma
55
œuvre, comme le mystique dans sa prière. Et c’est
pourquoi
le poète, Ramuz, l’homme qui vit concrètement les grands mythes et le
56
qu’on a, mais seulement avec ce qu’on est. C’est
pourquoi
il n’y a de création possible que par les individus. Et de là vient q
57
mieux que la retenue même de l’expression. C’est
pourquoi
je l’éprouve plus vivement dans certains passages des Affinités élect
58
soit apte à s’agréger ce qui est supérieur. C’est
pourquoi
l’on fait bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-là pour s
59
, par rapport à notre pensée naturelle. Dès lors,
pourquoi
faire intervenir dans notre vie une recherche qui risque surtout d’êt
60
eux, s’il faut faire quelque chose, et comment et
pourquoi
. Ce que nous devons faire est toujours assez simple, est toujours évi
61
32)b Nous avons interrogé M. Durand-Dupont. —
Pourquoi
n’êtes-vous pas révolutionnaire ? M. Durand-Dupont ne s’est pas fait
62
a été jeune, lui aussi. Du moins il l’affirme. —
Pourquoi
je ne suis pas révolutionnaire ? nous a-t-il déclaré — Parce que je s
63
mme impliquant une contradiction dans les termes.
Pourquoi
prétendez-vous « défendre » un idéal libéral pour lequel vous refuser
64
le désir d’être entendu du grand public, et c’est
pourquoi
l’on ne voudrait pas reprocher à M. Duhamel d’avoir adopté pour cette
65
le, par ailleurs, M. Duhamel semble fort attaché.
Pourquoi
récriminer sur quelques aspects superficiels d’une civilisation dont
66
ons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente :
pourquoi
la supporterons-nous ? La révolution, ce n’est plus un état d’esprit,
67
peut-être les mots-clés de l’Europe sentimentale.
Pourquoi
faut-il que notre langue les traduise, en vertu d’une convention qu’i
68
érard songeait, muet, et n’en buvait pas moins. «
Pourquoi
vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproche, évidemment scan
69
ose à l’imagination de bien étranges spectacles ;
pourquoi
veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon, entre deux
70
de voyager n’est rien auprès de celui d’expliquer
pourquoi
l’on est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, j
71
mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est
pourquoi
je nageais à brasses prudentes avec aux jambes l’imperceptible angois
72
le. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est
pourquoi
l’œil est implacable… Pas de clefs dans mes onze poches. Seulement ce
73
que que les choses les plus évidentes. C’est bien
pourquoi
l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas u
74
araît ici bien établie, triomphante, à beau fixe.
Pourquoi
troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur
75
28 avril 1929 Ils ont de la peine à comprendre
pourquoi
je suis venu vivre dans ce bourg, chez eux justement… Comment leur co
76
enu de certitude et de tendre lucidité, — je sais
pourquoi
je puis rester dans cette Souabe à ne rien faire : c’est que depuis q
77
ait une ascèse inhumaine et sans but divin. C’est
pourquoi
l’usage d’une sensualité consciente redevient une conquête de la sage
78
e fleur qui resplendissait comme une étoile. Mais
pourquoi
détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain
79
qu’on parle des temps nouveaux. Et l’on voit bien
pourquoi
les intellectuels, les ouvriers, les exploités ont besoin de tels myt
80
un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et
pourquoi
? Regardez : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office,
81
l et ironique feint de lâcher pour mieux croquer.
Pourquoi
ne pas se perdre sans arrière-pensée ? S’il me reste un espoir au sei
82
t frémir de rage ; ils aiment s’obstiner et c’est
pourquoi
nous aimons leur échapper. Vous êtes bien injuste avec moi quand vous
83
e. Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est
pourquoi
les mots vous paraissent simples, évidents et indifférents. C’est pou
84
raissent simples, évidents et indifférents. C’est
pourquoi
vous admettez que « beau » temps est le contraire de « mauvais » temp
85
temps, ni si les tempêtes sont « belles ». C’est
pourquoi
vous pensez encore que le bonheur peut exister en dehors de la souffr
86
me qu’il est le contraire de la souffrance. C’est
pourquoi
vos rêves composent toujours le même paysage de carte postale en coul
87
peut-être les mots-clés de l’Europe sentimentale.
Pourquoi
faut-il que notre langue les traduise, en vertu d’une convention qu’i
88
ose à l’imagination de bien étranges spectacles ;
pourquoi
veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon, entre deux
89
de voyager n’est rien auprès de celui d’expliquer
pourquoi
l’on est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, j
90
mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est
pourquoi
je nageais à brasses prudentes avec aux jambes l’imperceptible angois
91
le. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est
pourquoi
l’œil est implacable… Pas de clefs dans mes onze poches. Seulement ce
92
que que les choses les plus évidentes. C’est bien
pourquoi
l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas u
93
qu’on parle des temps nouveaux. Et l’on voit bien
pourquoi
les intellectuels, les ouvriers, les exploités ont besoin de tels myt
94
araît ici bien établie, triomphante, à beau fixe.
Pourquoi
troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur
95
28 avril 1929 Ils ont de la peine à comprendre
pourquoi
je suis venu vivre dans ce bourg, chez eux justement… Comment leur co
96
enu de certitude et de tendre lucidité, — je sais
pourquoi
je puis rester dans cette Souabe à ne rien faire : c’est que depuis q
97
ait une ascèse inhumaine et sans but divin. C’est
pourquoi
l’usage d’une sensualité consciente redevient une conquête de la sage
98
fleur qui resplendissait comme une étoile. » Mais
pourquoi
détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain
99
mon enfance. (On ne l’a donc jamais recimentée ?)
Pourquoi
faire ce voyage vers les lieux et les choses que toujours et partout
100
lus permis. J’aime l’Amérique. Ils me demanderont
pourquoi
, je ne saurai pas répondre. Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être
101
urquoi, je ne saurai pas répondre. Sait-on jamais
pourquoi
l’on aime un être ? Voici longtemps qu’on a cessé de penser qu’il est
102
précédent que moi. Mais la volonté n’y peut rien.
Pourquoi
maintenant, à cet instant précis, et non pas hier ni même une seule s
103
. Voilà un privilège qui ne peut gêner personne !
Pourquoi
ceux qui vivent pour l’avenir et dans les voies de l’ambition jalouse
104
e douceur ? Cherchant d’où vient cet agrément, et
pourquoi
dans le monde lacustre on ressent la vie mieux qu’ailleurs, plus savo
105
ohicans de mon enfance. Je le trouvais bien beau.
Pourquoi
l’ai-je quitté ? …Et nous n’irons jamais au lac d’Amatitlán, au pied
106
et cette vanité collective s’appelle, on ne sait
pourquoi
, patriotisme ; mais que si l’on parle de soi, on confesse uniquement
107
s avoir indiqué nettement, à la fin de l’enquête,
pourquoi
cette solidarité nous paraissait encore plus indésirable qu’impossibl
108
e transcender, de révolutionner ses formes. C’est
pourquoi
nous voyons aujourd’hui à l’avant-garde du mouvement révolutionnaire,
109
pture est l’origine même du christianisme ; c’est
pourquoi
l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chré
110
idariser la « chrétienté » du désordre établi. Et
pourquoi
? Parce que c’est tout à fait impossible, parce que la « chrétienté »
111
amne ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est
pourquoi
il y a un imposteur dans tout homme qui se dit chrétien. (Je ne dis p
112
d’un point de vue antichrétien.) Mais c’est aussi
pourquoi
il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, d
113
toi… Tu ne crois pas, dis-tu à ces docteurs, mais
pourquoi
les crois-tu soudain, quand ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand,
114
nuit, ne connaissant, de par notre nature, ni le
pourquoi
, ni le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la clef de l’Origine e
115
lus insolubles, par exemple : il ne sait même pas
pourquoi
il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien
116
ssibilités toujours plus grandes de loisir. C’est
pourquoi
elle est condamnée à une espèce de dégradation, dans la mesure même o
117
souffre d’une carence aiguë de la jeunesse. C’est
pourquoi
le problème de son destin se confond avec le problème de notre généra
118
tre Hitler de toute la Reichswehr et des Schupos.
Pourquoi
n’en use-t-il pas ? Il paraît maître absolu du pays, mais la violence
120
s guichets, aux sons du Horst-Wessel-Lied. c. «
Pourquoi
ils sont socialistes », L’Ordre nouveau, Paris, n° 3, juillet 1933, p
121
pas dans je ne sais quelle « réaction ». Et c’est
pourquoi
nous ne pouvons pas accepter un instant le rapprochement qu’on nous i
122
us aide en toute loyauté à les affirmer (p. 16).
Pourquoi
ai-je envie, dans une telle phrase, de remplacer « libre recherche »
123
ns la durée psychologique et descriptible ; c’est
pourquoi
des généralités abstraites telles que morale ou socialisme 10, entité
124
catastrophique. Persistons en dépit du bon sens.
Pourquoi
ne pas glisser, entre l’auteur d’Adolphe et celui des Discours religi
125
rz qui n’a pas de nom dans notre langue, et c’est
pourquoi
sans doute elle ne s’y manifeste que par ces « ratés » émouvants, don
126
ormulées que dans le système parlementaire. C’est
pourquoi
nous considérons le communisme comme l’agent le plus perfectionné de
127
sme est défini par son irresponsabilité, et c’est
pourquoi
sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle
128
bout, les conséquences de ce qu’il écrit ». Voilà
pourquoi
, parti de recherches d’ordre poétique sur la métaphore chez Proust, B
129
s », affirment-ils. Voire ! Les intérêts de qui ?
Pourquoi
? Et comment garantis ? C’est un paradoxe curieux que devoir en 1934,
130
pair avec la propagande de l’opportunisme. C’est
pourquoi
, sans vouloir en rien sous-estimer l’analyse qu’Aron et Dandieu nous
131
ueur le vice fondamental, d’essence rationaliste.
Pourquoi
les révolutions aboutissent-elles à des dictatures, c’est-à-dire à la
132
et tout épuiser, le chrétien se rit du bilan ! »
Pourquoi
ce rire scandaleux ? Parce que « la crainte infinie d’un seul danger
133
ent le contraire : il veut l’originalité. « Voilà
pourquoi
la Parole de Dieu est telle qu’on y trouve quelque passage qui dise l
134
ne se trouvent bien que dans l’imitation : c’est
pourquoi
ils se sentent unis en elle d’une manière si touchante, et c’est ce q
135
risé dans les choses afin d’y exaucer (comment et
pourquoi
?) nos désirs. Cette sorte de providence brute tout à fait inintellig
136
du paradis, p. 269. C’est moi qui souligne. 62.
Pourquoi
poser la question à propos d’un cas aussi exceptionnel que le martyre
137
cette mesure est peut-être assez faible. Et c’est
pourquoi
nous avons tant de peine à définir et nommer clairement les maux dont
138
Elle n’est occupée qu’à « bien » dire, — et c’est
pourquoi
elle parle mal. Or ceux qui l’ont attaquée jusqu’ici n’ont rien fait
139
ces trois manifestations d’inquiétude. C’est bien
pourquoi
nous en parlons. 1. Les discours des « Néos »12 Inutile de rapp
140
l’homme entre en contact avec les réalités. C’est
pourquoi
une expérience de travail manuel devra être instituée… pour tous les
141
r par l’esprit. Vous qui êtes Français, dites-moi
pourquoi
, dans tout votre trésor littéraire, vous n’avez pas de livres remèdes
142
r littéraire, vous n’avez pas de livres remèdes ?
Pourquoi
vous ne pensez jamais aux désespérés ? Tous vos livres disent non à l
143
négatif. Et je n’avais pas besoin qu’on m’y aide.
Pourquoi
n’avez-vous jamais eu le courage, vous Français — ou la bonté — ou la
144
ent. Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent, et
pourquoi
ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais surtout et d
145
u’il souffre et qu’il jubile, — qu’il agit. C’est
pourquoi
ils se trompent du tout, ceux qui considèrent l’homme, dans leurs cal
146
e sera jamais un objet de l’entendement. Et c’est
pourquoi
rien ne peut l’expliquer. Mais qu’il paraisse, aussitôt les objets s’
147
t sortir sans quitter, du même pas, la vie. C’est
pourquoi
le drame est sérieux ; et notre vie n’est pas une farce, pour la simp
148
efuser de jouer. Mais cela dit, il reste à savoir
pourquoi
tel figurant jeté dans une intrigue insaisissable devient tout à coup
149
comme n’étant pas assujetti à notre action. C’est
pourquoi
la plupart de nos gestes, loin d’être ordonnateurs et créateurs, sont
150
nt de mal (Introduction aux contes d’Arnim). Mais
pourquoi
nous glisser ce vieux problème avec des airs de conspirateur traqué ?
151
1. Je ne suis pas pacifiste par doctrine. Mais
pourquoi
dire que la guerre est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessair
152
e alors dans l’idéologie désespérante du Progrès.
Pourquoi
désespérante ? Parce que seul l’absolu console, mais que jamais aucun
153
l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est
pourquoi
, seul, il peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs problèmes
154
’apparaît essentiellement contre-révolutionnaire.
Pourquoi
? Parce qu’il fait abstraction du facteur homme, de la personne, de l
155
a nation, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est
pourquoi
en face des idoles, il n’y a plus que deux attitudes : les adorer ou
156
nt radical qu’il espère maintenant et qu’il agit.
Pourquoi
? Parce qu’il connaît un autre bien. La vision de cet autre bien lui
157
est derrière lui. Le problème a été résolu, c’est
pourquoi
le croyant a le droit de parler avec résolution même des choses les p
158
pture est l’origine même du christianisme ; c’est
pourquoi
l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chré
159
idariser la « chrétienté » du désordre établi. Et
pourquoi
? Parce que c’est tout à fait impossible, parce que la « chrétienté »
160
amne ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est
pourquoi
il y a un imposteur dans tout homme qui se dit chrétien. (On ne peut
161
que d’un point de vue chrétien.) Mais c’est aussi
pourquoi
il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, d
162
toi… Tu ne crois pas, dis-tu à ces docteurs, mais
pourquoi
les crois-tu soudain, quand ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand,
163
lus insolubles, par exemple : il ne sait même pas
pourquoi
il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien
164
ormulées que dans le système parlementaire. C’est
pourquoi
nous considérons le communisme comme l’agent le plus perfectionné de
165
sme est défini par son irresponsabilité, et c’est
pourquoi
sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle
166
eurs doctrines sont passées dans les mœurs, c’est
pourquoi
vous pensez qu’elles n’étaient pas « philosophiques » au même titre q
167
as qu’on vous demande « à quoi ». C’est peut-être
pourquoi
vous ratez ? Faire quelque chose, pratiquement ! Quand on se me
168
me, et que l’on considère comme une tricherie. Et
pourquoi
le chrétien a-t-il ce droit ? Parce qu’il est plus actif que les autr
169
nt contre Hitler de la Reichswehr et des Schupos.
Pourquoi
n’en ont-ils pas usé ? C’est que la « bonne conscience » du régime pa
170
ssibilités toujours plus grandes de loisir. C’est
pourquoi
elle est condamnée à une espèce de dégradation, dans la mesure même o
171
air avec la propagande de l’opportunisme. » C’est
pourquoi
, sans vouloir en rien sous-estimer l’analyse qu’Aron et Dandieu nous
172
ueur le vice fondamental, d’essence rationaliste.
Pourquoi
les révolutions de 1789 et de 1917 aboutissent-elles à des dictatures
173
ent chrétienne. Et cette défaillance expliquerait
pourquoi
Kierkegaard ne devint pas lui-même le « témoin de la vérité » qu’il a
174
e. Le tout de l’homme est négation de Dieu. C’est
pourquoi
l’homme n’arrive à Dieu et à la Vie qu’en mourant totalement à soi-mê